Cette gestion est centrale pour les personnes qui se présente à moi.
Le sportif blessé, qui souhaite reprendre un entrainement complet ou qui à une échéance. La femme enceinte ou jeune accouchée, ou encore les actifs, jeune ou moins jeune.
Le mal du siècle est le mal de dos.

Lorsque qu’elle entre dans notre vie de manière régulière, chronique, c’est une gêne quotidienne.
Il y a souvent une alternance de « bon jour » et de « mauvais jour ». La médecine propose beaucoup de chose pour la calmer, l’atténuer. La sophrologie est complémentaire de ces propositions.
Les séances permettent de se reconnecter à l’ensemble de notre corps, et ne pas se focaliser uniquement sur la zone douloureuse.
Cela permet également d’être à l’écoute de son corps, et dans les « bons jours » de ne pas trop en faire pour ne pas retourner dans un mauvais jour dès le lendemain.
Diane Lachapelle dans l’un de ces article (lien) rappel que dans la fable de la fontaine la tortue gagne la course par une effort lent mais régulier.
On retrouve bien sûr, cette régularité en sophrologie, par son entraînement. Refaire les différents exercices au quotidien, piocher celui dont on a besoin aujourd’hui à ce moment.
La sophrologie, pour être efficace dans les moments difficiles, nécessite de l’entrainement, et comme tout entrainement, il est plus facile de le faire dans des moment « confortable ». D’où cet entrainement régulier, même les « bons jours ».

Le travail va aussi porter sur le schéma corporel et le relâchement musculaire.
Evacuer les tensions physiques mentale, émotionnelle, et amener une perception positive de son corps. Prendre conscience que des zones ne sont pas douloureuses, et reprendre le contrôle de son corps. Cette action se fera, entre autres, par le biais de la respiration contrôlée.